RP laurent buvette doobyenne

Disponible sur le forum officiel de Ogame.fr
http://board.ogame.fr/thread.php?threadid=484883

Je sortait de la petite auberge comme tout les matins, saluant Dooby, la dirigeante de la buvette.
C’était une femme petite et d’apparence peu intelligente. Elle avait les cheveux d’une étrange couleur rouge et noir et un corps fin, d’apparence souple. Elle ne portait que quelqu’un bijoux. Elle portait des haillons et mangeais une tomate.
Je sortait de la petite pièce a l’atmosphère lourde et humide due aux nombreux alcoolique qui y résidaient et au feu étouffant que la jeune femme alimentait la nuit pour éviter que la fraîcheur du soir envahisse notre petit havre de paix.
Mon visage aux yeux jaunes était fouetté par la brise fraîche à l’odeur d’herbe récemment coupée…

Je m’approchait sous les fenêtres du petit bâtiment et m’éclaircit la gorge.
Je poussais bientôt un hurlement semblable au chant du coq, réveillant ainsi la totalité des occupant. Je rentrais précipitamment dans l’auberge pour assister au carnage dont j’étais l’anonyme responsable.
Je prenais une chaise cannée mangée par les termites et m’accoudait sur une vielle table en pierre. J’étais dans mon lieu favori.

Bientôt un gnome vêtu d’un très vieux pyjama entrait dans le salon. Il portait une barbe velue mais courte, qui était tout de même fort abondante… Sont chapeau masquais ces cheveux (ou une calvitie précoce, allez savoir). Il portait, autour de ca ceinture, une demi douzaine de navet bien violet.
_ Dit moi petite, tu me passe mon bol de Bière matinal ? demanda le gnome.
_ Bien sur, avec des chocapics ? Lui demanda la petite femme derrière le comptoir.
_ Putain ch’ui crever et j’ai la tête dans le cul s’ matin, ça vous dit on zigouille l’oiseau qui nous réveiller pour bouffer a midi ? demanda un petit homme que j’identifiait comme le paladin.
Il était grand, les yeux d’un bleu gris intense et fort. Il avait les cheveux en bataille et un sourire inexplicable.

J’étouffait a grand peine mon fou rire dans le petit verre remplit d’une liqueur forte mais juteuse que Dooby m’avait servie. Un jeune homme bien bâtis, brun, les yeux marron et un regard perçant, puissant qui impose sans raison apparente un respect évident et armée de ces deux seules mains entra dans la salle en poussant la porte d’un coup sec, tenant trois lapin fermement attacher a ça ceinture.
_ Tendo, voila qui nous fera un bon repas pour le souper, je vais les cuisiner dans l’après midi, puisque notre cher Dooby ne serait même pas faire cuir un œuf de chevre…

Jan Jansen, le gnome était en pleine discussion avec le Paladin :
<<

Jan Jansen a écrit:: Jachete une ferrari avec mon argent et je roule a fond sur l'autoroute j'avance de 40 cases

Je tombe en panne d'essence et je ressoit une amende pour exces de vitesse je recul de 39 cases

Junychi a écrit:: Je trouve 20€ par terre (au milieu de morceaux d'assiette brisée) et je bois 5 litres de bière naine. J'avance de 6 cases mais je recule de 4 parce que je suis bourré comme un cochon.

>>
Déjà, j’entrais dans la petite cuisine, pleine de casserole, de couteaux, de poêles, de fours et d’autres ustensiles de cuisine.

La salle d’apparence crasseuse était (d’après moi) blanche par le passer mais, c’était révolu depuis longtemps…
Le charme de la petite battisse était cependant incontestable et nous allions probablement tous y vieillir et y mourir, sans savoir pourquoi et sans que le désir de voyage et de liberté nous pousse vers des contrées lointaines…
Je m’installait devant une petite fenêtre, le gnome et le Paladin livrait une bataille d’entraînement mais les coups de navets n’était pas moins violent qui si il avait s’agit d’un vrai combat…
Dooby était monté dans un arbre fruitier qui faisait délicatement et généreusement tomber jusqu'à nous les derniers fruits d’un été triste et pluvieux… La chaire tendre et goûteuse des fruits agonisant dans l’air mortel de l’automne naissant suppliaient les habitant de cette curieuse contrée de les déguster.

Laissant mon regard se perdre à l’horizon, je rêvais d’évasion et de voyage… Non, vraiment, on s’ennuyait trop ici… Tendo essayait le tir a l’arc, il n’était ma fois pas mauvais mais une flèche avait arrachée une mèche rouge a la curieuse petite femme assise dans l’arbre, se qui avait provoquer une monstrueuse colère destructrice dont j’était, heureusement, a l’abris derrière mon plan de travail…

J’avait enfin fini se qui devais servir a rassasier la totalité de nos occupants… Un bien maigre repas… Oui, nous devions partir quérir d’avantage de nourriture…
Prenant mon arc en bandoulière, je sautait par la fenêtre, -pas de panique, je suis au rez-de-chaussée- et avançait précipitamment vers la foret…
Sans rien demander n’a personne, je filais dans cet endroit exigu et sombre. Malgré la saison d’été, il y avait déjà de nombreuse brindille qui jonchait le sol froid et humide, couvert de champignons. Chacun de mes pas déclenchait de nombreux craquement, aussi, je décidait vite de monter dans les arbres pour aquierrir une discrétion optimale. Mes yeux lumineux balayaient la forêt qui devenait dense et qui commençait à faire naître des fougères et des arbustes sauvages.

Je croyait avoir repérer la trace du Tartarus, un animal qui offrait a toute personne parvenant à le dépeusser, un délicieux steak tartare. Les traces de l’animal énorme rendait ça piste facile a suivre… En revanche, l’abattre était une toute autre affaire…

J’apercevait déjà, a travers les branche, ça fourrure blanche…
Un terrible combat allait maintenant s’engager…

J'avancait rapidement mais silencieusement...
Le regard persant, les narine fermés comme a mon abitude lorsque je refflechit (oui vous regarderez au lycee je le fait tout le temps), j'attendait le bon moment pour sauter sur l'animal cornu.

En une micro seconde, j'etait pres, tout muscles tenduent, je bondit.
L'animal surpris me repoussat d'une patte douce qui portait l'odeur du sang de petits animaux. Je pris mon baton et je le tin fermement serré dans mon point.
L'animal me fixait avec deux grands yeux rouges, la bave coulait de ça gueule béhente. Son museau noir renifflait puissament mon odeur, nous nous regardions et nous intimidions mutuellement du regard. La peur paralysait nos membres.

J'entendait un leger bruit derriere moi et je me decidait a attaquer avant qu'une autre creature n'arrive... Frapant violament mon adversaire, je perdit rapidement l'equilibre et je tombait dans les fougères et les feuilles morte.

Un triple sigflement fendit l'air, mai sse n'etait pas celui des griffes massacrantes du monstre. 3 Shurikens plantés dans la tete, le tartarus s'ecrasit bruillament. Je me le vait d'un bond, herchant du regard mon sauveur... Il etait introuvable.
Je me resigait a contre coeur a rentré, trainnant la carcasse de l'animal.
En arrivant devant l'auberge, je vit tout le monde m'acceuillir bruillament sauf tendo, resté dans l'encadrementde la porte, me regardant d'un air de defi.

» La buvette Doobyenne